jeudi 27 juillet 2017

Ça se précise…

Le collègue que je vais remplacer au lycée français de Brazzaville m'a adressé ce jour une enveloppe contenant des petits « trésors » : la clé de mon futur logement, des cartes de téléphone prépayées, un peu d'argent local (la monnaie est le franc CFA) et le document à remplir et présenter à la police des frontières une fois que j'aurai débarqué à Maya-Maya, au moment du contrôle des passeport et visa.


La veille, j'ai profité d'une météo tristounette pour faire quelques achats de circonstance. Brazzaville étant soumise à un régime tropical de savane noté Aw (selon la classification de Köppen), je dois être prête à affronter la saison des pluies.  Comme ci-dessous en novembre 2014...


La capitale de la République du Congo se situant sous la ligne de l'équateur, la saison sèche correspond à l'hiver (l'été en France) ; les mois de juin-juillet étant les plus secs (à peine 12 mm de précipitations).

En revanche, l'été est très humide, particulièrement en octobre-novembre (plus de 1270 mm d'eau).

Côté températures, la chaleur est très présente avec une moyenne de 25°C. Rien de plus normal pour un pays situé dans la zone intertropicale (la plus chaude du globe...et la plus humide).



J'ai donc investi dans un sac étanche de 40 L (en Bretagne, Guy Cotten est LA marque de référence) et dans une paire de botillons en caoutchouc d'une marque très connue en matière de bottes.


Lors de mes déplacements domicile-lycée, le sac pourra ainsi préserver au sec une paire de chaussures (ou de botillons), un vêtement, mes affaires de travail et mes papiers. Et lorsque je ferai des excursions, le nécessaire à emporter trouvera sa place.



 


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